Jean-Philippe Moy médaillé d’or de la galette Pipriac
Entouré de Marie-Annick Martin, maire (à sa droite) ; Odile Moy son épouse (à sa gauche) et la Confrérie Piperia, Jean-Philippe Moy a reçu la médaille d’or du concours national de la meilleure galette Pipriac 2018.
Jean-Philippe Moy, maître crêpier et fondateur de « Crêpes au logis » à Questembert, a reçu la médaille d’or du concours national de la meilleure galette Pipriac 2018 (35), en septembre 2018. Jean-Paul Flèche, Commandou de la Confrérie Piperia, lui a remis le diplôme de son premier prix de la galette d’or. Jean-Philippe Moy a déjà reçu la médaille d’argent au concours national 2010, 2014 et 2016. Aussi il a eu le premier prix à emporter 2014. Et il est Chevalier de la confrérie Piperia la galette, et maître crêpier.
« Nous devons faire de galettes sur place et choisir parmi eux les plus belles six galettes pour les présenter au jury », explique Jean-Philippe Moy, fier et heureux de cette belle récompense. « J’arrête de participer aux concours mais je reste à disposition de la Confrérie afin de les aider », révèle-t-il.
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Une exposition sur l’univers de la crêpe
L’écomusée des moulins de Kerouat, à Commana (Finistère), est à la recherche de matériel ancien : biligs pot à beurre, rozels… Mais aussi d’anecdotes, par exemple sur ces femmes des monts d'Arrée qui vendaient leurs crêpes à Brest.
L’écomusée des moulins de Kerouat, à Commana (Finistère), a en projet une exposition sur l’univers de la crêpe dans les monts d'Arrée.
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Un CDI pour une crêpière de 79 ans
A 79 ans, elle signe un CDI dans une crêperie car le restaurateur ne trouve pas de personnel.
Hubert Poupard, gérant du restaurant de crêpes Mam’Breizh à Concarneau, et sa nouvelle crêpière, Jacqueline Dervoust.
À 79 ans, Jacqueline Dervoust a été embauchée, ce jeudi, en CDI dans un restaurant de crêpes de Concarneau. Le gérant peine à trouver du personnel et la crêpière n’a absolument pas dans l’idée de profiter d’une retraite pourtant méritée. Le contrat a donc été signé sans l’ombre d’une hésitation par les deux parties.
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Le sarrasin, du champ à la galette
La filière sarrasin 100 % normande a été dévoilée, elle met en lumière des producteurs, transformateurs et fabricants locaux intéressés par ce nouveau débouché.
Les acteurs de ce partenariat comptent sur cette nouvelle filière pour développer la culture du sarrasin localement. (©L’Orne Hebdo)
À la faveur d’un programme conduit par la Chambre régionale d’agriculture pour diversifier les cultures, six agriculteurs, un meunier et un fabricant-crêpier ont associé leurs savoir-faire en faveur d’une nouvelle filière 100 % normande dédiée au sarrasin.
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Yann Ducrot s’inspire des recettes de famille
Petite visite d'une crêperie un peu atypique, à Pléneuf-Val-André où gastronomie et qualité priment avec les recettes alléchantes de Yann Ducrot, inspirées par sa famille.
Céline et Yann Ducrot ont ouvert La Dérive, à Pléneuf-Val-André, en 1999 avec une idée en tête : inviter la qualité et la gastronomie et dans les galettes. (©Crêperie La Dérive)
« Je ne fais peut-être que des crêpes mais je les fais bien ! », lance fièrement celui qui est aux manettes des biligs depuis bientôt 20 ans.
Sa crêperie, La Dérive, Yann Ducrot le Réginéen, l’a ouverte avec son épouse, Céline, originaire de la région de Saint-Etienne.
Ces deux-là se sont rencontrés alors qu’ils travaillaient au Grand Hôtel de Brides-les-Bains, pendant les jeux olympiques d’Albertville.
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Une école de crêpiers à Rouen
Installé depuis 10 ans à Montmain, près de Rouen (Seine-Maritime) Nicolas Le Breton, à la tête de Formule Crêpes vient de lancer la première école de crêpiers de Normandie.
Depuis 10 ans, la petite entreprise Formule Crêpes est installée à Montmain, sur le plateau Est de Rouen (Seine-Maritime) et mène une activité de traiteur finalement assez peu répandue. Il faut dire qu’on ne s’improvise pas crêpier par magie : il y faut le tour de main, essentiel, et l’envie de proposer des produits de qualité. Une école de crêpiers a donc ouvert depuis quelques semaines près de Rouen.
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Un bout de Bretagne à Bucarest"
Benoît Mayrand, un Français installé depuis 27 ans en Roumanie vient d'ouvrir une crêperie bretonne dans le centre de Bucarest, avec le chef français Philippe Dupré.
Propos recueillis par : Grégory Rateau réddacteur en chef pour lepetitjournal.com/bucarest
Grégory Rateau : Pouvez-vous nous présenter brièvement votre parcours ?
Benoît Mayrand : Je suis né en France, je suis arrivé en Roumanie sur la demande d’une entreprise pour créer une société d’irrigation dans le domaine agricole et je suis tombé amoureux du pays. Je vis depuis à plein temps à Bucarest, j’y ai trouvé beaucoup de plaisir et d’intérêt. J’ai aujourd’hui 52 ans, j’ai donc vécu plus ici qu’en France, mais je reste attaché à mon pays. C’est pour cela que je représente les Français installés en Roumanie et en Moldavie, je m’implique sur un plan politique et associatif. J’ai été élu il y a 4 ans de ça conseiller consulaire. J’ai créé ma propre société de recrutement et je pars aujourd’hui sur une nouvelle aventure par nostalgie de mon enfance, de la Bretagne. Je me suis associé avec le chef Philippe Dupré pour monter cette crêperie que vous découvrez aujourd’hui, la crêperie Harbour.
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Passeport pour une nouvelle vie
Un jeune breton est devenu le roi de la crêpe à Séoul, en Corée du Sud. Ce Français est le héros du feuilleton de France 2 : passeport pour une nouvelle vie.
À Séoul (Corée du Sud), dans un quartier branché, c'est le rendez-vous incontournable des amoureux de la cuisine française. Cette crêperie de la capitale affiche complet tous les soirs. Les clients apprécient la simplicité et l'ambiance familiale de l'établissement. On y croise évidemment beaucoup de Français en mal du pays. Aux commandes, un Breton pure souche : Arnaud Landrin.
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