Un bout de Bretagne à Bucarest"
Benoît Mayrand, un Français installé depuis 27 ans en Roumanie vient d'ouvrir une crêperie bretonne dans le centre de Bucarest, avec le chef français Philippe Dupré.
Propos recueillis par : Grégory Rateau réddacteur en chef pour lepetitjournal.com/bucarest
Grégory Rateau : Pouvez-vous nous présenter brièvement votre parcours ?
Benoît Mayrand : Je suis né en France, je suis arrivé en Roumanie sur la demande d’une entreprise pour créer une société d’irrigation dans le domaine agricole et je suis tombé amoureux du pays. Je vis depuis à plein temps à Bucarest, j’y ai trouvé beaucoup de plaisir et d’intérêt. J’ai aujourd’hui 52 ans, j’ai donc vécu plus ici qu’en France, mais je reste attaché à mon pays. C’est pour cela que je représente les Français installés en Roumanie et en Moldavie, je m’implique sur un plan politique et associatif. J’ai été élu il y a 4 ans de ça conseiller consulaire. J’ai créé ma propre société de recrutement et je pars aujourd’hui sur une nouvelle aventure par nostalgie de mon enfance, de la Bretagne. Je me suis associé avec le chef Philippe Dupré pour monter cette crêperie que vous découvrez aujourd’hui, la crêperie Harbour.
Passeport pour une nouvelle vie
Un jeune breton est devenu le roi de la crêpe à Séoul, en Corée du Sud. Ce Français est le héros du feuilleton de France 2 : passeport pour une nouvelle vie.
À Séoul (Corée du Sud), dans un quartier branché, c'est le rendez-vous incontournable des amoureux de la cuisine française. Cette crêperie de la capitale affiche complet tous les soirs. Les clients apprécient la simplicité et l'ambiance familiale de l'établissement. On y croise évidemment beaucoup de Français en mal du pays. Aux commandes, un Breton pure souche : Arnaud Landrin.
Des crêpes fabriquées comme au Moyen Âge
Mark Gael Jiquelle, crêpier de la Cour Julot, et Maud Le Clainche, directrice du village de l’an Mil de l’An Mer ont dévoilé comment les crêpes étaient fabriquées au Moyen Âge.
Maud le Clainche, directrice directrice du village de l’an Mil, de Melrand et les visiteurs. Mark Jiquelle, crèpier de la Cour Julot, dans la réalisation façon Moyen-Âge. | OUEST-FRANCE
Faire un bond dans le passé en dégustant des galettes. C’est ce qu’ont proposé, la semaine dernière, Mark Gael Jiquelle et Maud Le Clainche. Durant une journée, le premier, patron et crêpier de la Cour Julot, à Melrand, est venu jouer du bilig devant les curieux.
Basé dans le Perche, il vend ses galettes dans la France entière
Jérôme Cousin, crêpier-traiteur, se déplace à domicile pour régaler lors d'événements privés. L'idée plaît et le Percheron est demandé aux quatre coins de l'Hexagone.
Jérôme Cousin, basé à La Chapelle-Montligeon, a lancé « Chaud comme la Breizh » en 2014. (©Le Perche)
« Des gens habitués aux plus belles tables de Paris ont adoré mes galettes. Devant une crêpière, on est tous comme des gosses », constate Jérôme Cousin.
Installé à La Chapelle-Montligeon (Orne), le crêpier-traiteur régale la France entière avec un concept original : l’Ornais se déplace chez les clients et cuisine sous les yeux des convives lors d’anniversaires, brunchs, mariages, séminaires, repas d’entreprises, etc.
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Le meilleur crêpier de Bretagne peut produire 1 500 douzaines de crêpes par jour
Nicolas Guélou avait une crêperie à Trébeurden. Meilleur crêpier de Bretagne, il est à la tête d'une usine à Lamballe qui peut produire jusqu'à 1 500 douzaines de crêpes par jour.
Lamballe Crêpes a un nouveau patron et un nouveau nom, Âme de Bretagne. L’entreprise située dans la zone des Gastadours à Lamballe a été rachetée le 1er février 2017 par Nicolas Guélou, meilleur crêpier de Bretagne en 2015.
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Concours de crêpiers 2018
Les as du billig réunis à Saint-Jouan-des-Guérêts
Vingt-cinq candidats pour une crêpe, et pas n'importe quelle crêpe, la meilleurs de Bretagne ! Saint-Jouan-des-Guérêts accueillait mardi 23 janvier 2018 le concours du meilleur crêpier de la région ! Et c'est Christophe Beuriot du Faou (29), qui a décroché le titre !
Ces Bretons qui partent ouvrir leur crêperie à l’étranger
De très nombreux Bretons, amoureux du patrimoine culinaire de la région, s’exilent au bout du monde pour faire partager leur passion et leur culture.
Les Bretons et les crêpes, c’est une grande histoire d’amour.
Alors, de nombreux crêpiers en herbe sont prêts à quitter leur terre natale pour servir des galettes à l’autre bout du monde.
On a recueilli quelques témoignages de ces expériences hors du commun.
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Dans cette crêperie, on vient avec sa garniture
Pascal Lohézic, le crêpier, perpétue cette tradition avec plaisir. De quoi ravir France et René qui viennent déjeuner, le samedi, avec un sac bien chargé. Selon Thomas et Cloé.© Ouest-France
Au Sarrazin, à Locminé dans le Morbihan, les clients peuvent apporter leurs ingrédients. Les habitués, qui s'y sentent comme chez eux, tiennent à cette tradition tombée en désuétude.
« Du gruyère, des oeufs, du jambon, mon pot de confiture et même le beurre... salé, bien sûr ! » Quand France et René viennent déjeuner à la crêperie, le samedi, c'est avec un sac bien chargé. Ces habitués du Sarrazin, à Locminé, aiment ce rituel tombé en désuétude : apporter ses propres ingrédients au restaurant.
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