Crêpe géante de plus de 7 mètres
Les membres de l'association des Métais ont rendu hommage à leurs aînés. Pour la 40e édition de "la fête de la madeleine" à Kerhinet en Loire-Atlantique, ils ont battu le record vieux de 1989 de la plus grande crêpe du monde : 7 mètres 40.
Dans le village de Kerhinet (Saint-Lyphard) perdu au milieu du parc de la Brière, on ne rigole pas avec les crêpes. Une vaillante équipe composée de cuisiniers, boulangers et pailleurs a battu, dimanche matin 24 juillet 2022, un incroyable record du monde : la plus grande crêpe bio française non retournée. Cette énorme pâte validée par huissier mesurait un diamètre de 7,40 m.
Devant une foule de 3 000 personnes, l’association des Métais a dépassé un vieux record qui datait de 1989 (7,02 m). "Notre crépière était prête depuis 2020 mais les deux dernières éditions ont été annulées à cause du Covid, raconte Gilles Le Gentil" , président de l’association des Métais. "Nous voulions renouer avec les performances de nos anciens qui ont battu 17 records du monde dans les années 80 : le plus grand plateau de fruit et légumes, le plus long porté de brouette avec 350 kg de personnes…" »
310 œufs, 61 litres de lait, 30 kg de farine et 6 kg de beurre
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Le vélibillig, crêperie mobile à vélo
À Lannion, Elisa Pougnard vient de lancer son projet : le vélibillig. L'objectif : sillonner Lannion et ses alentours à bord de sa crêperie mobile à vélo.
Elisa Pougnard derrière ses billig. ©Chloé Ragueneau
Le 1er juillet à Lannion 2022, c’est à la brasserie Kerampont que nous rencontrons la jeune crêpière, Elisa Pougnard, qui vient de lancer son projet : le vélibillig.
Nous découvrons une « petite crêperie » sur mesure, installée sur un vélo, accolé lui-même au bar de la brasserie.
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Bastia : un crêpier en grève de la faim
"Commerce en berne, en grève de la faim pour dire « stop ».'' La pancarte donne le ton, sur la devanture de la crêperie de la rue Saint-Roch, à Bastia. Assis à même le sol devant son commerce au rideau baissé, Frédéric Filippi ne cache pas son amertume face aux passants et aux connaissances venus lui témoigner leur soutien ou essayer d'en savoir plus.
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À Paris, comment la crêpe bretonne de Montparnasse est devenue une affaire tamoule
Autour de la gare Montparnasse, rares sont les traditionnelles crêperies qui n’aient leur cuistot tamoul. Certains sont devenus propriétaires.
En trente ans, la diaspora sri lankaise est devenue l’héritière de l’armoricaine d’autrefois.
Derrière le plan de cuisine du Petit Josselin, Anumuyam Thurarajah s’applique. « Une quimpéroise et deux pont-aven ! » lance la serveuse. Il est à peine midi et la crêperie, rue du Montparnasse, dans le sud-ouest parisien, est déjà bien remplie. Sous une rangée de bolées de cidre, le crêpier qui manie la spanell, la spatule traditionnelle, teint brun et moustache en broussaille, n’a pourtant rien de breton.
Source : https://www.marianne.net
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La farine de blé noir de Bretagne sous IGP manque de terre
Alors qu’elle cherche actuellement à garantir la production de blé noir pour cette année, Christine Larsonneur, la directrice de l’association Blé Noir Tradition Bretagne ne cache pas son inquiétude : « Pour l’instant, on a 100 à 150 producteurs de moins que l’année dernière, sur 350 à 400. » Il ne lui reste plus que quelques semaines pour combler ce retard. Semée du 15 mai au 15 juin, cette céréale est récoltée de mi-septembre à fin octobre. Elle ne manque pourtant pas d’intérêt pour les cultivateurs : « C’est une bonne plante pour asphyxier les mauvaises herbes et nettoyer les sols, argumente Christine Larsonneur. Elle ne nécessite pas de traitement ni d’engrais. »
Un appel aux agriculteurs
Alors, qu’est-ce qui cloche cette année ? Les producteurs préfèrent pour l’instant se tourner vers les autres cultures de printemps, aux rendements plus élevés, comme le blé, l’orge ou le tournesol, car elles seront mieux rémunérées en raison de la pénurie liée à la guerre en Ukraine. Un appel est donc lancé à tous les cultivateurs disposant de parcelles disponibles.
La conjoncture actuelle ne nous permet pas de trouver les surfaces nécessaires pour répondre à la demande des meuniers bretons.
On vous explique tout dans ce communiqué de presse ci-dessous, n'hésitez pas à partager pour la sauvegarde de notre agriculture bretonne et d'une production exclusivement locale : La farine de blé noir de Bretagne sous IGP
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Minoterie Corouge
La farine de blé noir pour spécialité
La minoterie Corouge (Réguiny) est le 2e fabricant français de farines de blé noir. Elle s'est spécialisée dans cette production il y a près de 40 ans.
Lionel Guerret, responsable du site de Réguiny, est meunier depuis 34 ans. Il parle avec passion de cette farine de sarrasin appréciée des consommateurs de galettes mais que l’on retrouve aussi dans la composition de nouveaux produits. (©La Gazette du Centre Morbihan)
La minoterie Corouge, qui a gardé le nom du précédent propriétaire, est une entreprise familiale, reprise il y a sept ans par Bertrand Girardeau, qui dirige six moulins indépendants (principalement dans l’Ouest).
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Au Faou, « La Frégate » récompensée pour son caramel au beurre salé
Chaque année, la Fédération de la crêperie organise le concours du meilleur crêpier de Bretagne. Compte tenu de la situation sanitaire, il a été remplacé cette année par le concours du « Meilleur caramel de beurre salé » servi en crêperie. Les candidats devaient présenter un caramel classique et un autre, original celui-là, au gré de leur inspiration.
Le grand gagnant est Christophe Beuriot, de la crêperie « La Frégate », au Faou avec une moyenne de 8,21 sur 10, pour son caramel au beurre salé parfumé à la cannelle.
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Le Sac’h - Sac isotherme spécial crêpes
C'est nouveau : le sac isotherme spécial crêpes et galettes. Ce sac réutilisable a été imaginé par un crêpier breton installé à Langueux dans les Côtes d'Armor.
Youenn Allano avec ses sacs pour transporter crêpes et galettes. © Radio France - Johan Moison
Il est presque midi. Des clients font la queue devant « La crêperie de Youenn » à Langueux dans les Côtes d'Armor. Ils viennent chercher des galettes et des crêpes à emporter. Mais aujourd'hui, les clients se pressent aussi pour acheter un sac... Un sac isotherme un peu spécial imaginé par le crêpier lassé de gaspiller des emballages. « On jette beaucoup de papier ici et on s'est dit qu'il fallait changer nos comportements », raconte Youenn Allano.
Deux ans de travail
Pendant deux ans, le crêpier « s'est creusé les méninges avec une amie qui a une entreprise de création à Plaintel » pour trouver une solution. « On a eu cette idée de sac en tissu réutilisable et isotherme pour que les galettes et crêpes ne sèchent pas », explique Youenn. « Le sac peut en contenir une bonne quinzaine de chaque ».
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